OUI à la Réunion, patrimoine mondial UNESCO. MERCI à toutes et tous qui par leur courageuse et historique mobilisation ont permis la REINTEGRATION de la Plaine des Sables dans le BIEN à classer et veillent à sa préservation. VIGILANCE ! THANK YOU. Merci de nous aider par votre adhésion. VIDEOS : www.youtube.com/channel/UC3-iNdvmvK-bWlMnbYiG4jw et http://www.dailymotion.com/ACSP
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Dimanche 24 Novembre 2019
Projet d'extension du bassin de Grand-Anse. Scénario2
AVIS de l'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION
L’Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION (ACSP-REUNION) avait exprimé publiquement son AVIS à la fois sur son site internet, et lors de la réunion de concertation préalable du public qui a eu lieu le mercredi 10 juillet 2019 à Petite-Ile, salle Le Fangourin, pour présenter l’avant-projet.
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acsp
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Lundi 15 Juillet 2019
PROJET D'EXTENSION DU BASSIN DE BAIGNADE DE GRAND-ANSE.
AVIS de l'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION
acsp
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Lundi 08 Juillet 2019
Gorges du Bras de la Plaine : "Stop au saccage !"
Pétition en cours.

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acsp
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Dimanche 07 Juillet 2019
La folie des grandeurs au Tampon, Ile de La Réunion
PROJET D'INSTALLATION DE TYROLIENNES ENTRE LE PITON DUGAIN ET LE CHAMP DE FOIRE.

Une consultation publique a lieu du 24 juin au 8 juillet 2019 sur ce projet, avec pour seule information disponible sur internet un « dossier de concertation » à l’adresse : https://www.letampon.fr/images/Pdf/Tyrolienne/DOSSIER_DE_CONCERTATION_TYROLIENNES.pdf
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acsp
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Mercredi 12 Juin 2019
Projet d'arrêté "Cétacés". Pour le 01 juillet 2019.
La reconnaissance de notre argumentation.
acsp
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Lundi 10 Juin 2019
Le projet d'arrêté "Cétacés" à La Réunion : une mascarade !
La position de l'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION
acsp
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Jeudi 07 Mars 2019
Alerte à Etang du Gol
Population et faune en danger !

acsp
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Jeudi 07 Février 2019
Restauration de l’habitat du gecko de Manapany… les dérives du Conservatoire du Littoral, de l’ONF, et de NOI !
Plainte a été déposée.
Préalable 1 : Pour comprendre nos actions, il faut rappeler que l’Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION ainsi que l’Association ACPEGES partenaire, sont des associations environnementales Réunionnaises, indépendantes, non subventionnées, non politisées, et ne pratiquent pas le copinage trop souvent en vigueur dans notre île.
Parmi les combats majeurs opérés par ces 2 associations, citons par exemple la sauvegarde de la Plaine des Sables et sa réintégration dans la zone classée au Patrimoine mondial, la sauvegarde du site de Grand-Anse face à un projet d’aménagement initial rejeté par la population, la sauvegarde de la forêt d’Etang-Salé face au projet d’extension du golf … etc. Ces combats victorieux bénéficient chaque jour à l’ensemble de la population qui doit rester vigilante.
Préalable 2 : La Réunion, petit territoire, du fait de quelques espèces animales en danger, possède des animaux « stars » : pétrel noir de bourbon, pétrel de Barau, tuit-tuit, papangue, gecko vert de Manapany. Non endémiques, mais à la forte aura médiatique, il y a aussi les baleines.
Ces animaux « stars » sont aussi une manne financière puisqu’ils permettent de disposer de financements pour tenter d’assurer leur conservation.
Il y a donc des associations qui existent, se spécialisant dans ces animaux, et qui obtiennent parfois d’importants financements dans le cadre de programmes de conservation. Ces associations subventionnées, tout le monde les connaît, elles peuvent faire du bon travail (ou pas), mais étant donné leur dépendance, elles ne peuvent exprimer la moindre remarque pouvant fâcher les financeurs, et jouent parfois le rôle d’association-alibi pour donner une image « écolo » à des actions qui ne le sont pas.
Ainsi, à La Réunion, et nous ne sommes pas les seuls à le constater, un groupe de personnes, que l’on retrouve parfois dans différents organismes ou associations, semble s’être approprié le patrimoine naturel de La Réunion. Cette pratique de « l’entre-soi » ou l’on se soutient l’un l’autre en oubliant les faits, mais en privilégiant les relations de clan, devient de plus en plus apparente et choquante, et joue au final, à l’encontre de la préservation de la Nature à La Réunion, car cela suscite une réaction négative de plus en plus marquée vis-à-vis de ceux censés officiellement agir pour la protection de l’Environnement de manière non partisane.
Une nouvelle fois, nous sommes contraints de réagir face à une atteinte grave à l’Environnement, menée cette fois à l’encontre de la population de puffins du Pacifique (Ardenna pacifica) dans le sud de l’île, sur la commune de Petite-Ile. Nous avons constaté dans une zone de falaises, zone de reproduction-nidification de puffins du Pacifique, oiseaux marins protégés à La Réunion par arrêté ministériel du 17 février 1989, que des filaos ont été abattus et les troncs et branchages amoncelés sur des « terriers » de puffins. Ce comportement visiblement irréfléchi et qui a potentiellement un impact négatif sur la reproduction d’une espèce animale protégée, nous oblige à intervenir.
Ce saccage a été perpétré par l’ONF à la demande du Conservatoire du Littoral, propriétaire des lieux.
Le 15/01/2019, Nous avons contacté, pour les alerter simultanément, l’association SEOR (qui s’est notamment donné pour objectif la protection des oiseaux et de leurs habitats), et l’association NOI (Nature Océan Indien) qui elle, porte un projet de « restauration écologique » de la végétation dans la zone, dans le cadre d’un programme de 3 ans, sur 6 ha, avec un financement de 300 000 euros, en faveur du gecko vert de Manapany.
La SEOR ne répond pas et, compte tenu de notre préalable 2, on ne peut que légitimement s’interroger sur cette absence de réaction.
Le 28/01/2019, soit quasiment 2 semaines après, NOI, comme seule réponse à notre alerte, nous a renvoyé vers le Conservatoire du Littoral, propriétaire des lieux, que nous n’arrivons pas à joindre, puisque personne ne répond au téléphone.
Nous prévenons alors Monsieur le Maire de Petite-Ile pour l’informer de ce qui se passe sur sa commune.
Le 31/01/2019, un responsable de l’ONF que nous avons contacté pour expliquer qu’il y a problème car nous constatons la destruction systématique des filaos dans les falaises et jusqu’au rivage (la majorité coupée et certains annelés), ce qui génère un impact potentiellement négatif sur les puffins du fait de la modification de l’environnement local et des amas de troncs coupés et branchages qui représentent un obstacle pour l’accès aux terriers et pour l’envol des oiseaux. Dans une posture « droit dans ses bottes », il explique qu’il ne fait qu’obéir aux instructions du Conservatoire du Littoral.
Ce même jour, nous réussissons à contacter (dans une volonté de démarche toujours amiable) un membre du Conservatoire du Littoral pour alerter et demander une suspension des travaux en cours, et une réunion rapide des différents acteurs intervenants sur site pour examiner les impacts potentiellement négatifs que nous soulevons et ainsi améliorer la procédure de restauration du site.
Nous alertons aussi par mail la BNOI (Brigade Nature Océan Indien) : « Nous sollicitons l'intervention de la BNOI pour constater cette atteinte à la zone de nidification des puffins, et pour faire sanctionner les responsables, quels qu'ils soient, si du moins les lois de la République Française s'appliquent à toutes et à tous de manière égale. »
Le lundi 04/02/2018, le Conservatoire du Littoral, par l’intermédiaire de sa responsable, Adjointe du délégué pour l’Océan indien, nous répond par mail, qu’ils ne comptent pas suspendre les travaux malgré notre alerte, en clair, ils font pour le mieux selon des procédures scientifiques validées.
Ceci est malheureusement bien à l’image du système local où quelques personnes croient tout connaître sans maîtriser la réalité du terrain. Le dialogue n'est pas possible, d’un côté les « sachants » dominants et de l’autre « les ignorants » censés ne rien comprendre et ne faisant pas partie du cercle des "scientifiques agréés"…
Nous avons pourtant signalé différents problèmes :
L’abattage des filaos, quasi-systématique dans et en bas des falaises, justement là où sont situés une bonne partie des terriers des puffins, ce qui modifie l’environnement local (ensoleillement, température, repères éventuels pour les oiseaux marins, etc) et potentiellement diminue l’attractivité du site pour les oiseaux marins. Cet abattage systématique dans certaines zones, et irréfléchi car ne tenant pas compte des conditions de reproduction des puffins, fait également fi du principe de précaution car il ne tient compte que des nids occupés en tout début de saison de reproduction et de plus le rayon de sécurité autour des nids n’est que de 6m, ce qui potentiellement met en danger cette colonie de puffins du Pacifique.
La responsable du Conservatoire du Littoral affirme que l’abattage n’est pas total, seulement ¼ est abattu ou « annelé » (on réalise un anneau de découpe de l’écorce pour faire mourir l’arbre)
Pourtant, il suffit d’aller sur site pour constater l’étendue des dégâts au niveau des falaises, notamment l’amoncellement de déchets de coupe sur les terriers, ce qui prouve qu’il s’agit bien d’une élimination systématique des filaos dans la zone de reproduction des puffins, et des travaux ont lieu aussi en saison de reproduction. C’est ce que nous avons indiqué à la BNOI par mail et téléphone, BNOI à qui nous avons demandé le constat sur place étant donné qu’il n’y a pas nécessité absolue d’éliminer tous les filaos dans et en bas de falaise.
Cette responsable du Conservatoire du Littoral semble ne pas comprendre en quoi l’abattage systématique de filaos perturberait les puffins.
Il faudrait donc lui expliquer que les animaux et les oiseaux peuvent avoir leurs repères visuels et que les puffins de cette colonie étaient en équilibre avec leur environnement même s’il s’agissait d’un milieu déjà modifié avec ces quelques filaos, et que cela n’a rien à voir avec la zone de désolation actuelle. D’autant que certains oiseaux marins comme les paille-en-queue sont connus pour nidifier par terre souvent contre le tronc des filaos et autres arbres et arbustes littoraux dans les zones où il n’y a pas de prédateur introduit.
Les faucons migrateurs les apprécient bien comme perchoirs, et les « serins péi » devenus rarissimes, en exploitent même les graines.

Serin du Mozambique (trés prisé pour son chant), quasi disparu de la Réunion. Exploitant les graines de filaos dans son alimentation.
Nous contestons donc la destruction dans et en bas des falaises, de tous les filaos.
Selon, cette responsable du CL, les nids au voisinage des filaos abattus ne seraient pas occupés … mais bien sûr qu’ils ne le sont plus avec ce dérangement majeur. Dire que nous avons observé pendant plusieurs années la reproduction des puffins depuis la naissance à l’envol dans cette même zone aujourd’hui désertée du fait du saccage ! Le dérangement a été manifeste.

Puffin juvénile, dont le terrier était régulièrement occupé auparavant ... Son terrier est désormais sous les branchages, donc il n'est évidemment plus occupé désormais !
Cette responsable du CL tente aussi de se dégager de toute responsabilité en cas de chute d’arbre annelé qui tomberait en fin de vie. Cela est très étonnant alors que le site qui domine l’îlot de Manapany est un site qui peut être fréquenté par des marcheurs et des pêcheurs.
Et nous n’accepterons pas, comme le proposerait un responsable de l’ONF, que le site soit interdit au public du fait de cet annelage qui est leur œuvre mais recommandons de prévenir le public des risques éventuels de chute d’arbres (panneaux d’information sur le chantier de restauration en cours et conduite à tenir)
De plus, des travaux se déroulent en pleine période de reproduction-nidification, ceci, malgré les tentatives de justification du CL, ce n’est pas normal.
En résumé, l’action menée de restauration de forêt doit s’effectuer majoritairement en partie haute, afin de ne pas impacter la zone de falaise et la partie basse où les puffins se reproduisent, ainsi qu’en dehors de la période de reproduction des puffins et de la période cyclonique.
Il faut stopper l’abattage sauvage en bas et dans les falaises.
Il faut enlever les troncs et branchages abandonnés à la sauvage, en procédant en période hivernale, hors saison de reproduction des puffins tout en prenant soin de ne pas dégrader les terriers.
Nous recommandons l’usage d’un broyeur permettant de valoriser sur site la litière végétale produite dans les replantations d’espèces indigènes et/ou endémiques.
Une action supposée être en faveur d’une espèce (le gecko vert de Manapany), ne peut se faire au détriment d’une autre (puffin) !
Nous avons informé et sensibilisé Monsieur le Maire de Petite-Ile sur ce qui se passe sur le littoral de sa commune et lui avons montré les images illustrant nos informations.
Nous lui avons demandé d’intervenir pour que ces travaux de « restauration écologique » prennent réellement en compte les sites de reproduction des puffins du Pacifique et qu’en hiver, l’enlèvement et le broyage des troncs et des branchages sur et en bas des falaises soit effectué, pour que les oiseaux puissent accéder à nouveau facilement à leurs terriers. Nous le remercions publiquement pour le respect de ses engagements.
Qu’on le veuille ou non, le filao fait depuis longtemps partie de la Nature Réunionnaise, et son élimination systématique, excessive et coûteuse pour les contribuables, et faisant fi de tout aspect socio-culturel, n’est pas acceptable.
On s’acharne donc sur les filaos à grand frais d’argent public pour officiellement restaurer un habitat favorable au gecko de Manapany, tout en impactant la colonie de puffins, mais en attendant on n’a pas vu le début d’un commencement d’action concrète pour lutter contre les reptiles invasifs comme par exemple Phelsuma laticauda et surtout le grand gecko vert de Madagascar, Phelsuma grandis (20 à 30 cm !), en provenance de Madagascar et qui s’est déjà répandu sur St-Pierre et Le Tampon… et qui malheureusement ne fera qu’une bouchée de notre gecko vert de Manapany …
Nous vous tiendrons informés.
2019, année de la transparence selon notre Ministre de l’Outre-mer ….
Justement, nous informons que nous avons déposé plainte auprès du Procureur de la République puisque notre démarche amiable a été rejetée par le Conservatoire de l'Espace Littoral et des Rivages Lacustres.
acsp
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Mercredi 02 Janvier 2019
Respect de nout papangues ! Une victoire de l'ACSP-ACPEGES
Merci au Centre du Patrimoine mondial !

2019, année de la transparence selon notre Ministre de l'Outre-mer !
La voici la transparence des associations libres de protection de l'Environnement que sont l'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION et l'ACPEGES, et ce grâce au communiqué que nous avons pu obtenir de manière indirecte juste la veille du 20 décembre 2018 :
« Par courrier en date du 5 janvier 2017, l’Association Réunionnaise d’Effarouchement et de Fauconnerie (AREF), représentée par M. GOUGACHE a déposé une demande de dérogation « espèce protégée » portant sur le transport, la détention et l’utilisation de deux individus de busards de Maillard Circus maillardi.
M. GOUGACHE se proposait de recueillir les éventuels busards de Maillard soignés en centre de soin mais inaptes au relâcher en milieu naturel. L’objectif de cette demande était d’éviter l’euthanasie à des oiseaux mais aussi de réaliser des opérations de sensibilisation à l’environnement en présentant ces spécimens à des scolaires.
Ce projet a été instruit par le Service Eau et Biodiversité de la DEAL au niveau réglementaire et au niveau scientifique. Après consultation du Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel (CSRPN) en date du 22 juin 2017, et après consultation du public en avril 2018, la DEAL n'a pas donné suite à la demande de M. Bernard GOUGACHE. »
C'est un sacré camouflet pour :
- le CSRPN (« conseil scientifique régional pour la protection de la Nature", CSRPN Réunion dont la composition 2017 se trouve dans notre article ici) qui, (excepté 1 membre qui s'y est opposé), avait osé donner un avis favorable à la détention de papangues à ce fauconnier, ce qui correspond pourtant à déroger à un arrêté ministériel, CSRPN qui de plus a toujours refusé de fournir la liste des membres présents à la réunion qui avait validé cette décision .... ça c'est de la "transparence" ou de l'opacité ?
- la direction de la DEAL locale, qui avait même préparé à l'avance le projet d'arrêté favorable au fauconnier, avant même le résultat de la consultation publique ! Faut le faire !
Remarquable le comportement de la DEAL, qui depuis la fin de la consultation publique, le 21 avril 2018, il y a donc plus de 8 mois (!) n'a toujours pas publié sur son site le résultat de la consultation.
C'est une victoire de nos 2 associations libres, nos papangues ne serviront pas d'animaux de foire pour attirer une clientèle enfantine (et leurs parents) pour un projet archaïque de prison d'animaux, sous couverture de "sensibilisation" bidon.
Victoire d'autant plus importante que nous avons obtenu les remerciemens du Centre du Patrimoine mondial suite à notre alerte et notre demande d'intervention argumentée.
Merci à Maloyab qui avait réalisé en juin 2018 une vidéo très pédagogique (26 000 vues) !
https://www.facebook.com/maloyab/videos/1960603733963723/?hc_location=ufi
acsp
- 16:33
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Jeudi 27 Décembre 2018
Que CACHE le Conseil départemental de la Réunion ? 2019 année opaque ou transparente ?
Pourquoi ce vilain "missouk" pour privatiser "nout patrimoine" ! Actualisé 01/01/2019
Nous prenons donc date !
La présidence a changé au Conseil départemental de la Réunion, mais pourtant les méthodes opaques perdurent.
Le discours minable du président de ce conseil (rejetant toujours la faute sur l'Etat) lors de la dernière visite de la Ministre de l'Outre-mer n'avait trompé personne.
Nos élus locaux sont les premiers responsables, et ces élu(e)s (la parité est de mise) ont au moins réussi quelque chose : se faire détester. Nous prévoyons que ce rejet des politiciens en place ne pourra que s'amplifier avec le mode de gestion opaque comme celui que nous relatons au sujet du fameux projet Bioparc.
Le Conseil départemental de la Réunion a osé accorder une concession de 8,5 ha dans la forêt publique d'Etang-Salé à un privé pour un projet de parc animalier, que nous nommons "prison d'animaux". Et contre lequel, une action juridique est toujours en cours à la Cour d'appel administrative de Bordeaux.
Le 23 juillet, nous avons envoyé au Conseil départemental une demande de copie de ce contrat de concession.
La demande est restée sans réponse.
Le 04 octobre 2018, rebelote, cette fois courrier déposé directement au Conseil départemental, avec cachet faisant foi.
Ce 27 décembre 2018, soit plus de 5 mois après notre 1ère demande, aucune réponse.
C'est cela la "démocratie" à la Réunion ?
Le missouk ?
Personne n'a donné aux élu(e)s un "chèque en blanc" pour disposer du patrimoine naturel de la Réunion à leur guise, sans même consulter la population.
La forêt est un Bien commun, ce n'est pas la propritété personnelle de quelques élu(e)s !
POURQUOI le président du Conseil départemental refuse-t-il de rendre public le contrat de concession à Bioparc ? Qu'a-t-il à cacher ?
8,54 ha de la parcelle forestière N°AN52 envolés du domaine public !
Il y a de quoi s'interroger lorsque l'on observe la collusion d'intérêt avec le fauconnier porteur de projet dans les manifestations organisées par ce même Conseil départemental !!!
Pour exemple récent, la fameuse manifestation "Au bonheur des enfants" du 19 au 22 décembre 2018 au Jardin de l'Etat à Saint-Denis.
- Une belle zone de volière a été prévue pour le fauconnier
- Les vols des faucons ont été présentés comme faisant partie des "temps forts" des animations permanentes sur les 4 jours
Voilà ce qu'organisent nos élu(e)s locaux ! Offrir au fauconnier porteur du projet de prison d'animaux Bioparc, une vitrine pour attirer les enfants avec des rapaces importés et soumis à leur "maître".

21/12/2018 JT Reunion1
Comment attirer les enfants avec un rapace importé prisonnier.
Hibou grand duc, un rapace ... nocturne ....
Dans une île qui a connu l'esclavage humain, que le Conseil départemental de la Réunion mette en avant l'esclavage animal pour le business est une honte.
Qu'il mette en avant l'importation de la fauconnerie (qui n'est pas "nout tradition") en est une autre.
Qu'il permette à un businessman d'attirer les enfants pour se forger petit à petit sa clientèle est un scandale de plus.
De la "nature en boîte", ce serait cela l'éducation au milieu naturel qu'il faudrait pour les enfants de la Réunion ?
Pitoyable et indigne, voilà ce qui ressort de ce Conseil départemental.
Et sournois vu le refus de la transparence !
L'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION et l'ACPEGES ont saisi la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) pour obtenir le contrat de concession que le Conseil départemental CACHE, et nous le rendrons PUBLIC !
acsp
- 14:05
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Vendredi 21 Décembre 2018
ALERTE : La forêt des hauts de l'ouest sinistrée !
Après les incendies, les psylles ! Complété le 28/12/2018

Déchets des psylles sur table de pique-nique.
Sur fond de tamarins défoliés. Décembre 2018.
Route du Maïdo. Ile de La Réunion.
Déjà en janvier 2016, il y a déjà presque 3 années, l'Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION avait tiré le signal d'alarme face à l'infestation des Tamarins par les psylles dans la zone du volcan.
Nos informations argumentées avaient à l'époque été reprises par tous les médias locaux.
Article très détaillé que nous vous conseillons :
http://citoyennedestpierre.viabloga.com/news/alerte-aux-psylles-a-la-reunion-un-scandale-a-l-ile-de-la-reunion
En ce mois de décembre 2018, nous sommes dans l'obligation d'alerter à nouveau sur une situation qui apparaît catastrophique dans les hauts de l'Ouest !
Sur la route ultra-touristique du Maïdo, au niveau de l'intersection avec la route forestière des Tamarins menant au Tévelave, les tamarins sont entièrement défoliés et offrent un paysage bien sombre malgré le soleil !
Le "triste spectacle" des ces tamaris défoliés est encore plus saisissant dans le brouillard !
Non pas à cause d'une sécheresse, mais à cause des psylles !
Pour rappel, ce sont de petits moucherons, en fait des mini-cigales, qui prélèvent la sève des feuilles et les font tomber en masse. Ces petits insectes sévissent au Volcan depuis 2014 où ils pullulent en été. Là haut, beaucoup de tamarins, plus ou moins nains en raison de leurs conditions de vie difficiles, en sont morts. Les grands tamarins des forêts des hauts de l'ouest semblaient épargnés jusqu'à présent.
Quel est l'avenir de ces beaux arbres endémiques qui font de la tamarinaie un milieu unique au monde, tant apprécié des Réunionnais et des touristes ?
Arbres qui ont de plus, une forte valeur économique en fournissant un bon bois d'ébénisterie.
Les psylles, insectes piqueurs peuvent leur transmettre en plus des maladies fongiques, des virus.
Psylle adulte et oeufs jaunes, et juvénile en dessous et à gauche.
Les psylles qui pullulent en été, se reproduisent et se développent à grande vitesse. Ils produisent des déchets (restes de mues, déjections, miellat colonisé par des moisissures) qui tombent sous les arbres et saupoudrent sol, végétation, tables de pique-nique, surface des bassins de baignade, d'une poudre blanche. Est-elle allergisante ?
Infestation des mares et bassins par les déchets des psylles qui forment un tapis blanchâtre.
Impressionnant !
Peut-on compter sur un bon cyclone pour nous débarrasser de cette nouvelle peste animale plutôt néfaste pour l'économie forestière, le tourisme et la santé humaine ?
Il est à craindre que non, malheureusement, car les psylles ont résisté et peut-être même profité des pluies exceptionnelles de la première moitie de l'année 2018.
Qelles actions concrètes ont été menées avec les budgets publics face à cette infestation connue depuis des années ?
La lutte contre les espèces invasives n'est-elle pas une priorité à la Réunion ?
Le Parc National Réunion, l'ONF ne doivent-ils pas être en 1ère ligne face à ces menaces, qui pèsent de plus sur le maintien de notre label Patrimoine mondial ?
Ces organismes sont actuellement en situation d'échec, incapables de sauvegarder le patrimoine, alors qu'ils sont informés depuis des années.
Comment cela est-il possible ? A part des réunions, quelles actions concrètes ont-ils mené ?
L'invasion des psylles constitue pourtant une catastrophe aussi bien écologique, qu'économique !
L'omerta habituelle à la Réunion n'arrivera pas à dissimuler ni le manque de réactivité, ni la catastrophe !
On aurait pu espérer que cette larve de coccinelle mangerait un psylle. Même pas, elle dévore un puceron ...
VIDEO
Tamarins des hauts défoliés.
Sur la route touristique du Maïdo.
Déchets des psylles sur tables de pique-nique, à la surface des bassins.
Décembre 2018.
On peut visionner cette vidéo sur Youtube en taille plus grande 1920*1080
Suite à notre alerte, JT Antenne Reunion 28/12/2018
https://www.linfo.re/la-reunion/societe/le-psylle-envahit-la-reunion-et-menace-les-tamarins
Nous laissons chaque citoyenne et citoyen de La Réunion faire sa propre analyse de l'évolution de la situation, du "travail et des réponses" du Parc national, du CIRAD, de l'ONF .... alors que l'alerte a été lancée depuis des années, et que les impacts écologue et économique peuvent être majeurs !
La situation catastrophique dans les forêts de l'ouest au bois de tamarin réputé en ébénisterie, est occultée ...
La relecture de notre article de janvier 2016 apportait déjà des éléments bien plus argumentés et illustrés. Et sans un seul euro d'argent public, selon le strict bénévolat ...
acsp
- 16:37
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Dimanche 28 Octobre 2018
Où en est le projet de prison d’animaux BIOPARC !
La honte du business animalier à La Réunion

Forêt publique privatisée !
2018 Etang-Salé (Ile de La Réunion)
Par son jugement du 17 septembre 2018, le tribunal administratif a validé le permis de construire délivré finalement par la commune de l’Etang-Salé le 12 mai 2017. Ce jugement fait le jeu du lobby animalier et de ses complices mais ce n’est pas fini, loin de là.
En effet, l’Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION et l’association ACPEGES poursuivent la lutte contre ce projet archaïque d’exploitation animalière à but lucratif, grâce à la procédure en cour d’Appel administrative de Bordeaux qui a été engagée le 29 janvier 2018 contre le projet d’aménagement.
Nous n’allons pas reprendre tous les arguments déjà cités dans nos précédents articles, aussi pour les journalistes des médias locaux, du moins pour celles et ceux qui ne font pas leurs selfies avec les faucons importés et prisonniers du porteur de projet, il y a des pistes de travail à investiguer.
Franchement, est-ce là la place de cet animal sauvage ?
Une vie d'esclave pour divertir le peuple ?
Et ce, dans la ville du maire de Bras-Panon, le président du Parc national de la Réunion !!!
1/ Comment le Conseil Départemental de la Réunion peut-il céder 8,5 ha de forêt publique à un privé pour un zoo, structure artificielle de plus en plus décriée ?
Près de 700 animaux dont 600 d’espèces exotiques !
Et l’introduction de la fauconnerie, une tradition réunionnaise ?
Nous avons demandé fin juillet 2018 au président du Conseil départemental copie de la concession à la SAS Bioparc.
Près de 3 mois après, aucune réponse.
Le Conseil départemental joue l’opacité. Qu’a-t-il donc à cacher ?
2/ Comment dans une île où l’on parle d’écologie par buzz, accepte-t-on le sacrifice d’un écosystème de forêt sèche ?
Exceptionnel : accouplement de Furcifer pardalis ("Endormi") en zone de forêt libre.
Photo Joël Calteau (ACPEGES)
Désormais, la zone est PRIVEE !
Eh oui, la zone privatisée renferme des « endormis » pourtant protégés par arrêté ministériel, mais la DEAL locale, qui ne connaît visiblement pas cet environnement s’en fiche. Lisez le rapport du rapporteur public (qui lui aussi méconnaît le site) et vous verrez que ses affirmations ne vont que dans un seul sens.
3/ L’ONF (à la botte du Conseil départemental) a exécuté des travaux à la demande de Bioparc.
A combien s’élève le coût de ces prestations ?
Qui les paie ? Le contribuable ?
4/ Sous une autre étiquette (AREF), le même personnage porteur du projet Bioparc, a osé demander à disposer d’un couple de papangues. A présenter dans des écoles … Il faut se faire sa clientèle, n’est-ce pas ?
Le « conseil scientifique régional pour la protection de la Nature", lui (excepté 1 membre qui s'y est opposé), a osé donner un avis favorable à la détention de papangues à ce fauconnier, ce qui correspond pourtant à déroger à un arrêté ministériel, rien que ça !
La DEAL Réunion a donc lancé une consultation publique sur internet sur ce sujet de dérogation concernant notre rapace emblématique, du 6 au 21 avril 2018, soit sur 15 jours.
Là encore c’est l’opacité, le « missouk » !
- Il est impossible d’obtenir la liste des membres du CSRPN réellement présents pour donner l’avis favorable pour la dérogation ! Le président du CSRPN n’a pas tenu sa promesse de consulter l’ensemble du CSRPN pour nous répondre, et à la place, est allé « pleurnicher » à la DEAL, puisque le directeur de la DEAL a trouvé le temps pour nous expédier un courrier commençant par « On me rapporte un questionnement .. » mais sans apporter de réponse à notre demande de feuille de présence réelle.
Bizarre, n’est-ce pas ?
- 6 mois (oui, vous avez bien lu, 6 mois !) après la consultation publique organisée uniquement sur internet par la DEAL, il n’y a aucun résultat publié suite à cette consultation publique. Bizarre, n’est-ce pas ?
http://www.reunion.developpement-durable.gouv.fr/consultations-en-cours-r302.html
En résumé, que cache la direction de la DEAL ?
Face à l’omerta locale, nous avons alerté le Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO, qui lui, à la différence du CSRPN et de la DEAL locale, nous répond immédiatement.
Le Centre du Patrimoine mondial de l’UNESCO a ainsi demandé à la Délégation permanente de la France auprès de I'UNESCO de bien vouloir leur faire parvenir ses commentaires à ce sujet et en assurer le suivi approprié.
5/ Letchis sur le gâteau, le comportement du maire de l’Etang-Salé !
Alors là, cela mériterait une étude …
La délibération du conseil municipal de l’Etang-Salé le 9 décembre 2013 était claire : sur les 25 votants, rappelons que 18 élus avaient émis un vote "contre" le projet Bioparc. "Je ne suis pas du genre à manger mon chapeau !", réplique Jean-Claude Lacouture.
http://www.zinfos974.com/Lacouture-ne-veut-pas-du-zoo-Bioparc-sur-sa-commune_a75806.html
Ce maire nous avait ensuite, lors d’une entrevue en mairie, expliqué qu’il recevait des « recommandations » lui incitant à aller en faveur de ce projet, mais qu’il n’était pas du genre à se laisser dominer sur son territoire.
La commune refusa en toute logique de donner le permis de construire à Bioparc.
Le tribunal administratif saisi par Bioparc, donne raison à .. Bioparc face au refus de la mairie, sous peine d’astreinte.
Au lieu de se défendre contre Bioparc, avec pourtant ses moyens financiers, la mairie cède et accorde le permis, le 12/05/2017.
Nous attaquons logiquement ce permis, tout en avertissant la mairie, puisque la mairie affirme être toujours opposée à Bioparc.
Et voilà qu’au cours de la procédure, nous découvrons que, face à nos associations exclusivement bénévoles, se retrouvent les avocats M. Rémi Boniface pour Bioparc, et M. Jean-Jacques Morel pour la mairie d’Etang-Salé, qui demandent tous les deux notre condamnation à 4 000 euros d’amende !
Honte à vous M. Lacouture !
Votre comportement indigne est à l’image du dégoût que suscite la politique politicienne dans la population.
Finalement, vous êtes à plaindre car vous vous êtes ridiculisé en reniant votre parole, vous finissez bien mal car vous avez baissé la tête, lamentablement.
Vous trahissez même ce qui s’affiche au rond-point devant votre mairie : « Papangue, héritage de liberté, paysage métissé, plane sur mes dunes. (Kako Dambreville). »
6/ Il est bon de rappeler que :
- c’est l’action juridique de l’ACPEGES (plus de 3 ans de procédure) grâce à une délibération de la Cour d’Appel administrative de Bordeaux du 02 septembre 2008, il y a déjà 10 ans, qui a sauvé de la privatisation une zone énorme prévue pour extension du golf
http://citoyennedestpierre.viabloga.com/news/affaire-du-projet-d-extension-du-golf-de-l-etang-sale
- c’est l’action juridique de l’Association Citoyenne de Saint-Pierre-REUNION (plus de 4 ans de procédure) qui a empêché un projet de dénaturation du site de Grand-Anse avec privatisation larvée (restaurant de plage Kokoa du Palm vanté avant même le projet … avec transats parasols sur plage …. Ça vous rappelle quelque chose ?)
http://citoyennedestpierre.viabloga.com/news/victoire-pour-grand-anse
Il est donc important que toutes les personnes et associations (auteurs de manifestations importantes) qui jouissent actuellement de ces espaces naturels, se rendent compte qu'elles bénéficient du travail que nous avons mené pour l’intérêt général, et qu’elles apportent leur soutien et/ou leur engagement pour faire en sorte que les espaces naturels publics restent PUBLICS.
Alors que la population augmente, la réaction populaire est nécessaire envers les politiciens locaux et les représentants de l’Etat pour s’opposer à la privatisation de nos espaces naturels, un BIEN COMMUN qui doit rester d’accès libre et gratuit.
Ce projet mal-né, mal nommé « bio » PARC, reposant sur de la manipulation dès le début (enquête publique), et des collusions d’intérêts pitoyables avec le business animalier, n’aura pas d’avenir à La Réunion.
NB : Que l’on ne s’y trompe pas, les employé(e)s du Conseil départemental, de l’ONF, de la DEAL, de la mairie d’Etang-Salé, ne sont pas responsables, ils subissent les ordres contestables de leur direction.
NB : Voici ce qu’est devenu l’ancien zoo pitoyable de Saint-Denis : un potager partagé pour les dionysiens, une zone devenue d'intérêt général :
Et dire que le conseil départemental de la Réunion, cautionne par sa concession d’une partie de « nout forêt » une prison d’animaux, illustrant sa vision arriérée de l’animal prisonnier pour le business !
acsp
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